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Joséphine en route pour le Golfe

Le récit de marie : Douarnenez – Doëlan

Départ le samedi 1er mai. Un peu de vent (inespéré!) et aussi du soleil (inespéré lui aussi!)…

Les grottes de la côte sud de la presqu’île de Crozon toujours aussi magnifiques, et Choco qui pêche dans le Trouz Yar…

Passage du Trouz Yar * sans brume, ou presque (ouf!)

* Pour les néophytes: La passe du Trouz Yar est ce gros paquet de cailloux qui montre toujours quatre sommets hors de l’eau, à mi-distance de la Pointe du Raz et du phare de la Vieille et où seuls les marins aguerris osent se risquer.

Vie à bord : application des leçons de nav’ au clair de lune…et tambouille…

Borloked…!!!

Oui oui, Joséphine va bien! Nous avons eu à peu près toutes les météos possibles pour finalement arriver à Doëlan lundi après-midi et passer le relais à Henri et son équipage!…

Arrivée à Doëlan, comment un si petit bateau peut-il contenir autant de choses et comment peut-on en étaler autant sur le quai !?…

Marie

Le récit de Henri : Doëlan – Port-Louis

Dilo et moi avons retrouvé Joséphine à quai à Doëlan le lundi soir. L’équipage sortant était sur le quai avec tout son barda, et après quelques échanges chaleureux et instructifs, il est rentré à Douarn dans le fourgon qui nous avait emmenés.

Le mardi, tentative vers l’Ile de Groix : beau temps, vent faible de Sud Est, pile dans le nez ! à 17h, après plusieurs virements de bord – gambeyages, parcouru quelques milles et péché 2 maquereaux, nous abandonnons Groix et faisons demi tour vers Doëlan. Le vent nous abandonnera en fin de journée et c’est à la godille que nous attendrons le port vers 23h 

Joséphine, avec son taud tout neuf, dans le port de Doëlan(les 2 bouées rouges sur la photo sont pour les visiteurs, Joséphine est amarrée à la troisième).

Mercredi, vent encore de SE, mais 16-20 nœuds. Nous restons visiter Doëla rive gauche et droite. Antoine nous rejoindra dans l’après-midi.

Jeudi, vent de SSW 15-20 n : c’est mieux, au près toujours, mais presque sur un bord. Premier départ à 9h, mais nous n’arrivons pas à atteindre la bouée d’entrée du port ! Retour au corps mort, Nous repartirons à 10h, remorqué par un plaisancier compréhensif. Ouf ! Un grand bord de près musclé (avec un équipage de 3, mieux vaut éviter de se retrouver à 2 sous le vent pour étarquer une drisse ou border une écoute …) et nous atteindrons Port Tudy à Groix salué par de violentes rafales sous Changement d’ambiance dans le port, mais bonne nuit encore sous le nouveau taud. Nous avons retrouvé l’équipe d’Alternav que nous avions rencontré le WE précédent à Lampaul Plouarzel  (université de la godille)

Vendredi, vent SSW 15-20n : c’est vent arrière sous misaine seule que nous nous glisserons entre les cargos au mouillage, passerons le chenal d’entrée de Lorient et la citadelle,  pour s’amarrer à un catway dans Port Louis, réservé aux bateaux de plus de 13m, oups !!! on se déplacera après le déjeuner …

Retour vers Douarn en bateau-bus – bus – train – car.

Dimanche, Paulo et son équipage doivent prendre en main Joséphine pour l’emmener à Belle Ile …

Henri

Le récit de Paulo : Port-Louis – La Trinité-sur-mer

Nous souhaitions faire suite au récit de la croisière d’Henri et de son équipage sur Joséphine.
Nous avons donc récupéré le canot à Port-Louis. Après une sortie du chenal de Lorient aux avirons, le vent s’est mis à souffler du Nord-Ouest de façon progressive atteignant parfois force 3. Nos voiles ouvertes aux vents portant, nous dégustions à présent les gros bouillons de soleil du grand Sud — cap sur Belle-Île-en-Mer et son micro-climat. Après 25 miles de bonheur, nous arrivons au Port de Sauzon avec la montante et sous un soleil toujours radieux. Joséphine y passera la nuit, altière au milieu des croiseurs en plastiques et des équipages en dérades. Un bain de mer et nous voilà sur les « ribins » insulaires, guidés par un ami du cru. La suite appartient aux bon souvenir de l’équipage.

Le lendemain, le soleil à disparu, mais le vent souffle avantageusement du Sud-Ouest. Il nous emmènera jusqu’à la Trinité-Sur-Mer. Le passage de la Teignouse nous obligeait à passer à la renverse de flot établi à 13h. Bien que tenté de shunter le chenal principal, nous suivîmes le balisage — sans encombre.

Ayant raté notre prise de coffre dans la rivière du Crac’h, une vedette de la capitainerie nous remorqua gentiment à notre bouée. La leçon : ne jamais hésiter à solliciter de l’assistance —canal 9 ou prière au Dieu Yamaha pour lever la brise diesel.

Sur toute la route, la popularité du bateau et la ferveur des navigants à son endroit renouvellent notre plaisir et notre engagement à condition que de faire fi des photos intempestives prises à notre insu.


Etre adhérent de Treizour, c’est avoir l’opportunité de goûter à ce mode de navigation. Nous n’avons néanmoins pas dormi à bord. Mais nous arrangerons ça rapidement, j’en suis sûr — en baie, en rade, ailleurs…

S’agissant des doutes exprimés par Léna, les appréhensions naturelles relatives à ce mode de navigation peuvent nourrir un surcroît de sécurité et soutenir davantage l’attention portée à l’évolution du vent des courants etc. Ce qui est sûr c’est qu’elles ne doivent pas empêcher les amateurs éclairés comme nous d’appareiller. Sous la houlette de LA Pencalet, pas de pudeur de quartier-maitre!

Bref on a eu du goût et on souhaite ça à tous ceux qu’une telle pratique peut motiver!

Sacs à terre…

Paulo, Ghiom et Oscar.


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Événement

L’université de la godille

Oui, ça existe…

Treizourig y a participé…

Et on a essayé plusieurs types de godille

Il y avait même des bateaux de compétition !

Ou de promenade, c’est selon l’équipage….

Avec menu resto U, amélioré… vu les mines réjouies…

Et le dimanche, promenade au fond de l’Aber Ildut

Tout au fond …

D’autres photos sur le site de l’Université de la Godille !

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Un nouveau safran va fleurir…

Après quelques décennies de bons et loyaux services, le safran de Telenn mor avait décidé de prendre sa retraite, cet été pendant les fêtes maritimes. Réparations de fortune faites à ce moment là, le temps est venu de remplacer cette pièce essentielle de notre chaloupe sardinière…

Il faut commencer par enlever l’aubier et diviser chaque plateau en deux pour ne garder que le cœur exploitable. Choco, Maud et Bruno, à la manœuvre.

Maud, avec le maître d’œuvre Bernard pour reporter au plus près le gabarit sur les plateaux.

Le safran sera composé de 4 éléments assemblés

Pour ça, tout le monde s’y met...

Les couteaux et fourchettes ont pallié l’absence des tiges pour déterminer leurs emplacements; reste à tout assembler.

Les ferrures de Benjamin…

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Événement

On a eu du goût et des reines !

Tous les treizouriens et charpentiers de grève étaient conviés à commencer l’année en partageant le repas de midi et la galette des rois.

« Etrangement », il y a eu bien plus de monde qu’un samedi ordinaire de charpente marine : le goût d’être ensemble, surement…

Et le beau temps en prime… jusqu’à la grosse averse qui nous a ramenés vers l’abri plus accueillant du hangar.

Pendant ce temps, Bernard, Olivier, Maud, Maxime & C° planchaient sur le gabarit du nouveau safran de Telenn.

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Événement

C’est Noël: tannage et poisson fumé !

A Treizour, le tannage des voiles est une tradition de Noël. Cette année, pour le plaisir de tous, nous avons ajouté une séance de fumage de poisson…

Le jeudi soir, il faut découper des parts dans les filets de saumon et de lieu noir; parts qui doivent être patiemment salées, une à une, avant d’être rincées généreusement…

A la manœuvre: Amandine, Galina, Olivier, Jean-Pierre, Giloup, Talouen, Nicolas, Jean-Claude, Adrien, Axel.

Et puis vendredi le fumage : avant, pendant, après…

Ce midi-là, Treizour « grand seigneur » a offert le repas : patates et poisson fumé, point trop n’en faut...

Maud et Axel ont ramené le bois pour le nouveau safran de Telenn…

Pendant ce temps-là, on tanne les voiles sur les estacades du port-musée.

Et puis d’autres se chargent de la vente des poissons, bouteilles de bière et autres bateaux pop-pop…

Samedi matin à Tréboul, Sabine et Julie…

Samedi après-midi, Jean-Yves place de l’Enfer

Samedi soir, un retardataire en manque de bateaux pop pop…

Et le dimanche, Marion et Ana ont fait des heures sup’ pour vendre le reste des parts de poisson. C’est souvent dans ce « reste » que se cache le bénéfice d’une telle opération: un grand merci à elles !

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Une journée inoubliable…

A balancer l’âme sur Joséphine : par Sabine Leitl

« Trop tard, trop tard, nous sommes en retard!» j’ai dit, la circulation était trop dense pour arriver à l’heure au quai où Joséphine et l’équipe nous attendaient. J’étais un peu nerveuse.
«Pas de stress» a dit Claudio qui nous a accueillis gentiment à coté du parking.
Et c’était comme ça: Tout était calme et sans stress: Les passagers (Rémy, Henri, Babette, Jean-Claude, Claude et moi), le bateau, la mer lisse et pas de vent. Heureusement il y avait du soleil.
C’était ma première navigation sur Joséphine. Le quai était très haut en comparaison du niveau du bateau. «Comment embarquer ?» je me suis demandée. Et puis j’ai vu une toute petite échelle en fer sur le mur. Sur le quai Jean Claude m’a donné un gilet de sauvetage que j’ai mis. Après, je suis descendu prudemment, avant de prendre pied sur le bateau.


D’abord nous avons beaucoup écopé l’eau de la cale et la pompe était dure à manipuler. Tout de suite Henri et Claude ont trouvé le défaut. Assise à coté de la barre je pouvais bien observer comment les voiles avaient été hissées.

Mais il a fallu sortir les avirons car il n’y avait pas de vent. Nous sommes sortis du port à la rame et à la godille puis nous avons toujours attendu le vent. Après une heure, portés par le courant, nous sommes arrivés à hauteur de la plage des Sables Blancs de Tréboul. Mais notre espoir d’avoir une toute petite brise est tombé à l’eau…

Nous nous sommes laissés porter sur les vagues des bateaux à moteur qui sont passés. Nous avons bu un peu du thé au goût du goudron Norvège (thé fumé), mangé un biscuit et apprécié les derniers rayons du soleil. C’était l’heure de faire demi-tour. En ramant un cabillot de la dame de nage s’est cassé. Heureusement il y en avait en réserve.


Bien arrivé au port, la bouée nous attendait tranquillement où le bateau a été soigneusement amarré.


Pour terminer notre navigation nous avons bu «une gorgée pour la manœuvre» chez Jeanine.


Pour moi c’était une journée inoubliable…
Sabine

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Joséphine en baie…

Par Louis Lecostey


Ce week-end nous étions de sortie avec Joséphine en Baie de Douarnenez avec à son bord Julie, Laurence, Sarah, Maud et moi-même. Après un chargement épique des affaires à bord grâce à une tyrolienne maison, depuis le mole, nous nous sommes élancés avec un ris dans chaque voile que nous n’avons pas tardés à larguer.

L’idée était d’aller mouiller à l’île de l’aber, de l’autre côté de la baie voir si le mouillage était protégé par vent de Sud. Malheureusement nous sommes arrivés un peu tard sur zone et nous avons choisi de plutôt nous diriger vers le port de Morgat pour avoir un mouillage un peu plus sûr pour la nuit. Et vu les bourrasques nocturnes, je pense que c’était une bonne idée. Cependant il faudrait étudier le mouillage de l’île de l’Aber un peu plus sérieusement en y allant un peu plus tôt la prochaine fois ou alors en effectuant un repérage visuel à marée basse. Nous sommes passés entre l’Île de l’aber et l’îlot de l’aber pour y accéder, avec une superbe vue sur le trou dans la roche. La nuit du samedi soir nous avons cabané avec les tauds de la grande sœur Telenn Mor. 

Le retour de Morgat le dimanche a été laborieux, nous avons mis presque 2h avec les conditions de vent et de houle pour sortir du port. Et nous avons mis pas loin de 10h pour faire Morgat Douarnenez.

Par contre nous avons eu le droit à un coucher de soleil magnifique, une nuit étoilée incroyable, une navigation nocturne aux milieu des bolincheurs, un saut de dauphin ou de thon impromptu et bien évidemment des repas tous plus délicieux les uns que les autres (ce qui n’est pas sans rappeler les balades gourmandes en mer d’Iroise à bord de Telenn Mor)

On aura profité de la navigation pour lister les éléments qui peuvent être améliorer à bord de Joséphine. En tout cas je suis bluffé de ce que vous avez réussi à faire avec ce bateau, il est magnifique. Je vous tire mon chapeau pour sa construction, parole de charpentier de marine. Je vous mets quelques photos pour illustrer ce fameux périple ainsi que les traces GPS faites par Laurence.

Bon vent à Treizour et à ses adhérents…

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Un été avec Joséphine.

Par Maud Forest.

Oyé,

Joséphine est de retour ! Certains l’auront peut être aperçue à sa filière, abritée par le mole du Birou où elle est amarrée depuis samedi dernier.

Embarquées dimanche 28 à Pont-Aven, Kaëlig, Mary, Léa, Lü et moi avons rapidement pris la route vers l’ouest. Marie est restée une journée, pour naviguer avec nous et nous transmettre les particularités de Joséphine, puis nous avons fait cap vers Groix. Le vent nous lâchant entre la côte et la dite île, nous ne l’atteindrons jamais et tombons « étrave à étrave » avec Pen Duick III qui nous prend en remorque jusqu’aux Glénans. Jolie rencontre croisée de l’asso d’Eric Tabarly et Treizour : on se regarde en s’admirant !

Nous poursuivons la route vers Audierne (Sainte Evette), et profitons de la toute dernière fenêtre météo en début de dépression pour passer le raz de Sein. Accueillie dans la baie par Skeaf  et Grayhound ainsi que de belles rafales à plus de 25noeuds, Joséphine tire son dernier bord à plus de 6 nœuds, poussée par la houle.

Après presque deux mois de vadrouille, elle retrouve sa grande sœur, Telenn Mor à l’approche de Tréboul ! L’équipage sourit d’avoir accompli cette belle mission : 6jours de pur plaisir pour ramener Joséphine à bon port ! Merci

A la suite de ces nombreuses navigations, je pense que les autres chefs de bords de l’été se joindront à moi pour dire que Joséphine est un bateau hyper agréable à naviguer, très marin et sûr même dans le gros temps !


La vie à bord demeure très spartiate (cabanage sous les tauds, cuisine au réchaud, couchage à même le plancher, stockage des affaires sur le pont, aisances naturelles par dessus bord, promiscuité de chaque instant, etc) mais avec un peu d’organisation et de familiarité avec ses co-équipier.e.s , elle est extrêmement dépaysante et plaisante !

J’espère que les navigations de Joséphine en dehors de la baie seront nombreuses et que de nouveaux équipages se constitueront.

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Joséphine en Baie.

Maud avait conseillé de nombreuses navigations en baie et au dehors. Louis Lecostey nous en raconte une…

Ce week-end nous étions de sortie avec Joséphine en Baie de Douarnenez avec à son bord Julie, Laurence, Sarah, Maud et moi-même. Après un chargement épique des affaires à bord grâce à une tyrolienne maison, depuis le mole, nous nous sommes élancés avec un ris dans chaque voile que nous n’avons pas tardés à larguer.

L’idée était d’aller mouiller à l’île de l’aber, de l’autre côté de la baie voir si le mouillage était protégé par vent de Sud. Malheureusement nous sommes arrivés un peu tard sur zone et nous avons choisi de plutôt nous diriger vers le port de Morgat pour avoir un mouillage un peu plus sûr pour la nuit. Et vu les bourrasques nocturnes, je pense que c’était une bonne idée.

Cependant il faudrait étudier le mouillage de l’île de l’Aber un peu plus sérieusement en y allant un peu plus tôt la prochaine fois ou alors en effectuant un repérage visuel à marée basse. Nous sommes passés entre l’Île de l’aber et l’îlot de l’aber pour y accéder, avec une superbe vue sur le trou dans la roche. La nuit du samedi soir nous avons cabané avec les tauds de la grande sœur Telenn Mor. 

Le retour de Morgat le dimanche a été laborieux, nous avons mis presque 2h avec les conditions de vent et de houle pour sortir du port. Et nous avons mis pas loin de 10h pour faire Morgat Douarnenez. Par contre nous avons eu le droit à un coucher de soleil magnifique, une nuit étoilée incroyable, une navigation nocturne aux milieu des bolincheurs, un saut de dauphin ou de thon impromptu et bien évidemment des repas tous plus délicieux les uns que les autres (ce qui n’est pas sans rappeler les balades gourmandes en mer d’Iroise à bord de Telenn Mor)

On aura profité de la navigation pour lister les éléments qui peuvent être améliorer à bord de Joséphine. En tout cas je suis bluffé de ce que vous avez réussi à faire avec ce bateau, il est magnifique. Je vous tire mon chapeau pour sa construction, parole de charpentier de marine. Je vous mets quelques photos pour illustrer ce fameux périple ainsi que les traces GPS faites par Laurence.

Bon vent à Treizour et à ses adhérents.

Louis Lecostey

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On a osé Joséphine…

Bataille homérique à Treizour ! Il fallait remplacer le nom provisoire du canot par un nom consensuel. Après 2 tours de scrutin, la démocratie a choisi 36 contre 32… Le D21 est devenu Joséphine en hommage à Joséphine Pencalet: grande figure de la lutte des ouvrières de Douarnenez, au début du XXème siècle.

Photos de Simon Jourdan

Devant le hangar désormais vide, Maud F. et Léa ont eu l’excellente idée d’inventer une histoire de banc de sardines qui se rencontrent pour choisir le nom, le plus consensuel possible, avec les principaux acteurs de cette belle aventure.

Avant ça, il avait fallu installer les mâts,

Embarquer les voiles enverguées,

Assurer le point d’amure de la misaine,

Et même inventer un rocambeau…

Nous avions recueilli 58 propositions de noms venus de partout. Pour choisir, la règle était de rencontrer ses voisins et de se mettre d’accord sur un nom.

Il y avait donc ceux qui cherchaient,

Et ceux qui picolaient…

On a écouté les candidatures.

On a voté, Maud F. et Choco ont compté, et recompté…

Et on a dansé en hommage à Joséphine qui, cette fois-ci, a été élue pour de vrai…

Il restait à se retrouver sur le ponton pour admirer l’œuvre des voilières, une fois les voiles hissées…


Ce dernier mois à « H24 », il y a eu : Carolina, Marie, Anne, Claudine, Laurence et Julie

Simon le voilier, discret comme à son habitude, n’a pu être là, mais on attend son œil de maître pour les navigations.

Et elles sont parties écrire la 1ère page d’un nouveau chapitre…

Bon vent et longue vie à Joséphine

Et à sa marraine d’honneur Annaig Pors, arrière-petite fille de Joséphine Pencalet

Petite vidéo faite par Annaïg qui était au 1er rang, évidemment…

Photo de Marion Mouturier